Paris V - jeudi 27 novembre 2003
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25 juillet 2013
10 mars 2013
#148# - Una preghiera per morire
Naples - novembre 1987
J'avais gardé à l'esprit, une ville passablement horizontale.
Ce funiculaire di Chiaia me fait regarder d'un peu plus près le plan d'une ville bien loin de mon souvenir. Les funiculaires montrent une ville en creux et bosses.
J'en profite pour prendre un peu de temps et lire un peu plus attentivement ce qui s'était imprimé - une impression (?) - sur la pellicule. Un environnement passablement anarchique, l'entrée du funiculaire qu'une vieille femme semble bien seule à attendre... et puis une affiche de cinéma en quatre exemplaires.
Il s'agit du film "A Prayer for the Dying", que je n'ai jamais vu, autrement dit "Una preghiera per morire" avec M. Rourke, A. Bates et B. Hopkins. Un film de 1987 de Mike Hodges (?).
À Naples donc, le film était programmé à l'Arlecchino-Adriano dont je retrouve la trace... de la disparition *.
* http://cinematreasures.org/theaters/25957 (spéciale dédicace to Patrick Flandrin)
26 février 2013
#142# - Cinquecento
Naples - novembre 1987
Jusqu'à aujourd'hui encore, bien que le numérique en contrarie la pratique, j'ai laissé "traîner" au fil du temps des négatifs non "exploités". Je considérais - encore aujourd'hui - que la prise étant faite, le film développé, numéroté, soigneusement rangé et répertorié, le tour était joué et qu'il y aurait bien un moment où je pourrais y revenir... plus tard, faire des contacts et puis un editing et puis...
Avec le prétexte de ce blog je fais quelques efforts. Et me reviennent, les bribes d'histoire(s) ou d'anecdotes concernant ces "oublis".
Je n'étais pas à Naples pour Naples. J'y étais pour rejoindre Capri et retrouver les lieux de la Casa Malaparte, ces lieux du Mépris de J.-L. Godard... Plus tard - je ne sais quelles images en subsistent, je n'en suis pas encore là de mes "découvertes" - à Capri, au flair, je finirais par trouver le côté de l'île avec ses falaises abruptes qui plongent dans une mer transparente au point que l'on puisse en nier l'existence, mais, tours et détours n'y feront rien, je ne trouverais pas la Casa Malaparte... J'aurais respiré l'air de ce film, j'aurais pensé voir Camille et entendre la musique de G. Delerue...
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