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8 mai 2013

#156 - Anecdote napolitaine

       
Naples - dimanche 1er novembre 1987
      
     

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6 commentaires:

  1. Anonyme9 mai 2013 à 22:20

    je ne connais ni Naples Ni Barcelone du coup ça m fait voyager et me donne l'envie d'y aller faire un tour, comme à Berlin D'ailleurs Merci a vous HV

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    1. alsoipon10 mai 2013 à 12:29

      Ce que je trouve la tristesse endémique des photos proposées donnerait donc, malgré ou donc à cause de cela, envie d'aller y faire un tour ?
      Gasp ! Après tout, Hélène, qu'est-ce qui donne envie d'aller ici ou là ? Ah la la, question éternelle... Reste que cette trilogie est un bon choix ;)

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  2. Anonyme12 mai 2013 à 19:09

    Cela serait l'envie de faire revivre une émotion ressentie soit par une photo évoquant un sentiment une ambiance un ressentit émotionnel ou bien une phrase dite au hasard des rencontres par le biais de l'identification Je suis allée dans une capitale européenne et j'ai essaye de retrouver l'ambiance d'une série de photo vue sur un blog mais je n'y suis pas arrivé mais du coup cela m'a habité pendant le voyage comme a Berlin si je fais le voyage je me souviendrais des graffitis de verre rayé dans u Bahn je ne sais pourquoi certaines choses résonnent et amène un désir .Certainement en fonction d'un lien qui se crée à notre insu , Dans l'imaginaire peu etre et pourtant existant mais Berlin Barcelone et Naples sont faciles d'acces Elles ne sont pas tristes je dirais nostalgiques HV

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    1. alsoipon13 mai 2013 à 19:11

      C'est vrai que le choix des destinations ou des passages dépend de pas grand chose, une photographie, quelques mots dans un roman, une scène dans un film, un propos rapporté par un(e) ami(e).
      C'est vrai aussi qu'une fois sur place on ne retrouve que rarement ce qui avait été le déclencheur, l'émotion qui était née alors en nous... mais par contre, on découvre sa propre vision, ses propres émois. C'est une réappropriation d'un lieu et c'est très bien ainsi, que notre regard construise, sans en être conscient, une "géographie personnelle" de tout cela.
      Alors, on montrera des photos, on racontera des petites choses si importantes pour soi et d'autres recevront un ou des signaux qui les feront y aller voir à leur tour... and so on ;-)
      Pour la nostalgie, oui, mélancolie aussi... ce qui explique que rarement les photographies d'un passé encore présent me touchent... il me faut du temps pour regarder objectivement, il faut oublier un peu l'émotion de la prise de vue... enfin, je crois.

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  3. Anonyme21 mai 2013 à 21:35

    oui ,une façon de faire revivre son voyage avec encore des emotions à fleur de peau , je ne connais pas ces moments , j'espere ne pas avoir à vivre cette douleur .

    je revisite mes albums comme du passé à construire d'une autre façon que de l'avoir vecue soit en esthétisant quand je peux .Ce ne sont que des morceaux éparses qui apparaissent je suis incapable de faire une chronologie et si j'en aie deja fait une sur un pays soit un album j'ai l'impression que la boucle est bouclee et j’éprouve un sentiment de fin qui me déplait et me laisse comme démunie

    désolée pour ma syntaxe j'espere que tu comprendras ce que je veux dire HV

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    1. alsoipon22 mai 2013 à 21:14

      Mais un jour les morceaux se recollent, s'assemblent, s'ordonnent et l'on s'aperçoit réellement de ce que l'on a photographié... mais rien n'est jamais fini, la boucle n'est jamais bouclée, il y a toujours une suite. Heureusement :-) !

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